Au sommaire le 18 septembre 2013
Georges Braque, un esprit libre au Grand Palais
Georges Braque est un peu une victime de l'histoire de l'art. Sa période fauve a longtemps été considérée comme marginale parce que courte. Ou alors elle a surtout été opposée à son engagement esthétique ultérieur. Ses années « cubistes » sont, elles, sans cesse dominées par la figure tutélaire de Pablo Picasso. Enfin, sa production postérieure a souvent été tenue pour inclassable. « La plupart du temps, on ne sait pas comment exposer ses peintures des années 1940 ou 1950, souligne Brigitte Leal, commissaire de la rétrospective « Georges Braque » que proposent les Galeries nationales du Grand Palais, à Paris, à partir d'aujourd'hui. Nous voulions montrer Braque dans son ensemble, comme un tout. Ce qui est frappant, c'est qu'il produit une oeuvre d'une grande diversité, d'une grande richesse, dans laquelle on décèle une profonde continuité : dans sa palette fauve qui réapparaît quarante ans plus tard, ses thèmes récurrents, sa matière... » Lire la suite
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