Roxana Azimi_Le vernissage de Paris Photo tombe le jour de l’Armistice du 11 novembre 1918. Craignez-vous une déperdition des collectionneurs en raison du pont, de la même façon que la FIAC a vu sa fréquentation fléchir avec les vacances scolaires ?
Florence Bourgeois_Je ne le crois pas, les gens sont au contraire contents car plus disponibles. Il y aura peut-être une difficulté d’accès de 11 heures à midi pour ceux qui viennent en voiture le mercredi.
Christoph Wiesner_Il y aura plusieurs vagues de visiteurs, le jour du vernissage et le week-end. Les gens viennent de toute façon.
Pourquoi avez-vous créé la section Prisme cette année dans le Salon d’honneur ?
CW_L’idée est de donner la possibilité aux galeries de montrer des œuvres qu’elles ne pourraient pas présenter sur leurs stands. Nous nous sommes notamment attachés à la production sérielle, qui fait partie de l’histoire de la photo depuis les origines et qui permet de comprendre la force…