« Avec la toute proche biennale de Sharjah qui se tient en même temps, je pense qu’Art Dubai va être plus fréquentée que lors des éditions précédentes », avance Antoine Laurent. Le directeur de la galerie In Situ-Fabienne Leclerc - fidèle de la foire - offre une belle sélection de travaux de Meschac Gaba, d'Otobong Nkanga (lauréate du prix de la Biennale de Sharjah 2019), du duo Joana Hadjithomas et Khalil Joreige ainsi que de Daniele Genadry. Cela fait sept ans que la galerie y participe et semble y trouver son compte. « C’est en venant à Dubaï que nous avons rencontré Rokni Haerizadeh, Ramin Haerizadeh et Hesam Rahmanian, trois artistes iraniens réfugiés à Dubaï depuis une dizaine d’années et dont nous présentons des travaux sur notre stand » (fourchette de prix de ces artistes : entre 8000 et 100 000 euros pour les installations). Des rencontres, la jeune galerie stambouliote Anna Laudel espère en faire et « s’internationaliser ». Pour…
Peu de Français et une foire « à l'ancienne »
Pour sa 13e édition (du 20 au 23 mars), Art Dubai conserve son programme de résidence d’artistes et inaugure deux nouvelles sections. Les galeries françaises sont encore en tout petit comité dans cette foire ouverte sur le Golfe mais aussi sur l’Amérique latine et l’Océan indien.