Selon le Canard enchaîné, la Bibliothèque littéraire Jacques-Doucet (BLJD) – sous tutelle de la chancellerie des universités de Paris – aurait manqué de rigueur. En cause, la gestion déplorable du legs des quelques 20 000 livres et documents précieux du bibliophile Jean Bélias. Depuis la mort de celui-ci en 2010, seule une quinzaine de cartons remplis d’ouvrages aurait fait l’objet d’un inventaire, mais ils sont aujourd'hui introuvables, tandis qu'une partie du reste de la collection de Jean Bélias aurait été dispersée. En 2015, la BLDJ a décidé de reprendre ce legs en main et fait entrer, après tri, près de 1890 titres dans son fonds. En 2017, un libraire d’Orléans aurait été chargé de réaliser, finalement, un inventaire complet de ce legs,
ou de ce qu'il en reste...