Quel était votre état d’esprit au moment de la création de Castillo/Corrales ?
Le point de départ a été en 2007, quand, avec Nataša Petrešin et François Piron, nous avons invité dix collectifs d’artistes internationaux à investir en permanence l’exposition « Société anonyme » au Plateau/Frac Île-de-France et à la Fondation Kadist. La suite logique a été d’ouvrir un espace. Nous n’étions pas des jeunes qui sortent de…