Au sommaire le 25 septembre 2017
Biennale de Lyon : contempler face à l’abîme
« Nous sommes tous des astronautes », disait Buckminster Fuller en 1969 à propos de notre place à bord du « vaisseau spatial Terre ». Placée sous le signe de la fluidité liquide, « Mondes flottants », la Biennale de Lyon signée par Emma Lavigne, privilégie la dimension sensorielle des œuvres comme une forme de connaissance et de conscience au monde. Pourtant, à force d’œuvres tournées vers la contemplation et la poésie des éléments, « des révélateurs et des antidotes à l’instabilité du temps présent », selon la commissaire, la Biennale ne prend pas le risque de suspendre des formes d’engagement inscrites dans les conditions matérielles de ce monde. Lire la suite
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