Au sommaire le 27 juillet 2016
Charles Gleyre, le portrait sans concession d’un peintre faussement académique
Pour remettre en lumière l’extravagant Charles Gleyre
(1806-1874), le musée d’Orsay, à Paris, chausse les lunettes de psychanalyste. Les thèmes de la castration, de la guerre des sexes, de la violence, de la misogynie tiennent en haleine le visiteur qui découvre un peintre à l’œuvre aussi personnel qu’inclassable. Séance sur le divan. Lire la suite
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À retrouver dans cette édition