Le Quotidien de l'Art

Au sommaire le 05 septembre 2013

« Ma galerie reste un laboratoire qui n'a rien à envier aux plus jeunes enseignes »

Les 6e Brussels Art Days se déroulent de vendredi 6 à dimanche 8 septembre dans la capitale belge. Cette année, trente galeries proposent un programme spécifique pour la manifestation. Albert Baronian en profite pour fêter les quarante ans de la galerie avec une exposition sur l'arte povera. Entretien.
R. A. Vous aviez fêté vos trente-cinq ans de carrière avec un livre. Pourquoi faire une exposition sur l'arte povera pour vos quarante ans d'activité ?
A. B. C'est l'arte povera qui m'a fait connaître en dehors de Bruxelles. En 1980, lorsque j'ai montré Mario Merz, c'était sa première exposition personnelle en Belgique. J'ai organisé aussi des expositions de groupe avec Alighiero e Boetti, Anselmo, Marisa Merz. Pour l'exposition, Kounellis, Zorio, Paolini me prêtent des pièces de leur collection.
R. A. Avant l'arte povera, vous avez défendu supports-surfaces. Lire la suite

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