Au sommaire le 29 mai 2012
1917 : les artistes face à la Grande Guerre
« 1917 » au Centre Pompidou-Metz est de ces expositions touffues, stimulantes et vertigineuses, que le visiteur ne peut appréhender qu'en plusieurs salves. Car il est difficile de goûter d'une seule traite à ce menu pantagruélique fait de parallèles et de contraires. La concentration sur une année, 1917, ne facilite en rien la tâche, d'autant plus que les commissaires, Laurent Le Bon et Claire Garnier, ont refusé tout parti pris chronologique ou diachronique, jouant plutôt la carte de la grenade éclatée, du kaléidoscope, de l'écho et des coïncidences. « 1917 tient de la coupe perspective et stratigraphique et sans doute un peu de la tranche napolitaine », résume avec humour Laurent Le Bon dans le copieux catalogue de l'exposition. Lire la suite
Et aussi
- 1917 : les artistes face à la Grande Guerre au Centre Pompidou-Metz
- Livre : « Le silence des peintres » de Philippe Dagen
- Lyon se réapproprie les rives de la Saône
- Paroles d'artistes sur les rives de la Saône
- Une vente monumentale pour César chez Artcurial
- Le Salon de Mercure retrouve son éclat au château de Versailles