Il avait juré qu’on ne l’y reprendrait plus, ménagé une sortie en forme de suicide avec une rétrospective loupée au Guggenheim Museum, à New York en 2011. Il était pourtant sorti de sa retraite deux ans plus tard, en se moquant du monde de l’art avec cinq croupes de cheval empaillées accrochées en rang d’oignon à la Fondation Beyeler, à Riehen. Galéjade ? Pied de nez ?
L’exposition qu’il a concoctée à la Monnaie de Paris est d’un tout autre genre. Ici, pas de canular ni de fausse sortie. Pas de pitrerie ni de fumisterie. Plutôt que déballer l’ensemble de son oeuvre et l’accrocher…