À Arles, le changement s’opère dans la continuité et à l’exception de l’identité visuelle, les visiteurs ne seront pas dépaysés. La formule n’a pas été bouleversée : au cours de la première semaine se sont succédé colloques, rencontres et projections au Théâtre Antique, tandis que les expositions sont accueillies dans les lieux qui leur sont habituellement dévolus, tant au centre-ville qu’au Parc des Ateliers SNCF, où le chantier de la construction de la Fondation Luma, imaginée par Frank Gehry, se poursuit. Tout juste le nombre des expositions est-il moins important qu’au cours des éditions précédentes (35 cette année contre 50 en 2014), ce qui peut être considéré comme un mieux, puisque c’est au profit de leur qualité et de leur intérêt.
La programmation…