Le Quotidien de l'Art

« Le monde de l'art chinois ne me comprend pas »

Le milliardaire sino-indonésien Budi Tek, 52 ans, qui a bâti sa fortune dans l'élevage de poulets, se passionne depuis une dizaine d'années pour l'art contemporain international. Il a ouvert samedi 17 mai à Shanghai son second musée privé, le Yuz Museum : un espace de près de 10 000 m2 situé dans un ancien hangar à avions réhabilité par l'architecte japonais Sou Fujimoto.

C. P. Vous avez créé en 2008 votre premier musée privé dans un centre commercial à Djakarta (Indonésie). Que retirez-vous de cette expérience ?

B. T. Pour un collectionneur, c'est satisfaisant d'avoir son propre musée. Il y a une question d'ego, d'estime personnelle. Mais à Djakarta, nous ralentissons un peu l'activité et allons sans doute déplacer ce musée…

« Le monde de l'art chinois ne me comprend pas »
« Le monde de l'art chinois ne me comprend pas »

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Article issu de l'édition N°606