Xavier Veilhan a beau être un artiste reconnu, acheté par de gros collectionneurs - dont LVMH - et des musées importants comme le Centre Pompidou, il a beau figurer dans l'écurie d'un galeriste puissant, Emmanuel Perrotin, il n'aime pas se sentir copié, même par un sculpteur qui n'a pas ses entrées dans des institutions prescriptrices. Car l'emprunt répété peut être source d'amalgame. Xavier Veilhan en a fait le constat en se voyant de plus en plus confondu avec Richard Orlinski. Ce nom ne dira sans doute rien à la plupart des critiques d'art. Signe que le marché est constitué de réseaux parallèles bien étanches, cet artiste figure pourtant au sixième rang du palmarès d'Artprice des Français les plus cotés en 2012. Sur son site Internet, Richard Orlinski précise qu'il est devenu…