« Alors que Detroit est au bord de la banqueroute, […] l'impressionnante collection du Detroit Institute of Arts [D.I.A.] fait l'objet d'un marchandage politique dans une lutte qui pourrait durer pendant des années entre la Ville et son armée de créanciers. Ces derniers ont déclaré dans des termes plutôt clairs que les oeuvres d'art doivent être considérées comme des biens vendables », nous apprend le New York Times. Le quotidien new-yorkais précise que « l'Institut appartient à la Ville de Detroit ainsi qu'une bonne partie de sa collection […] qui comprend des pépites d'artistes tels que Bruegel, Caravage, Rembrandt et Van Gogh. Il est considéré comme faisant partie des dix premiers musées des États-Unis » (19 juillet).
Aussi, devant la situation économique des habitants de…