En dix ans, la métamorphose culturelle de l’Institut du monde arabe est saluée dans un langage peu habituel pour les redoutables magistrats de la Cour des comptes. Dans un rapport publié hier, ces derniers applaudissent la diversification de l’offre culturelle de l’institution depuis l’arrivée à sa présidence de Jack Lang, notamment en matière de spectacle vivant, de débats, de projections ou encore d’expositions. Soixante-quatorze se sont tenues depuis 2012 aux sujets plus ouverts qu’un temps, de la sexualité aux minorités…