Les contestations montent autour du clou de la vente annuelle des Rouillac, à Artigny le 4 juin, présenté comme « le dernier grand nu » de Gustave Courbet. L’Institut Courbet, qui a la responsabilité du catalogue raisonné et seule autorité reconnue par les grandes maisons de ventes, a demandé à examiner l’œuvre, sur laquelle il dit « avoir des doutes ». Le propriétaire du tableau, Johann Naldi, un marchand décrit par Michel Onfray comme un « authentique découvreur de trésors », refuse,…