Le Quotidien de l'Art

La BRAFA retrouve son lustre

La BRAFA retrouve son lustre
Brafa, entrée de la foire.
© Photo Armelle Malvoisin.

La foire d’art et d’antiquités a regagné son dynamisme d’avant la pandémie, avec une sélection un peu moins éclectique, plutôt axée sur les arts du XXe siècle.

Avec 65 000 visiteurs, la BRAFA (Brussels Art Fair) qui s’est tenue du 29 janvier au 5 février, a retrouvé son niveau de fréquentation d’avant le Covid. Une grande satisfaction pour l’équipe de la foire belge, après une édition 2022 plus difficile, réduite en exposants et déplacée en juin, à une période moins propice commercialement. Installée depuis l’an dernier à Brussels Expo, au nord de Bruxelles, BRAFA offrait des aménagements intérieurs semblables à ceux du site Tour & Taxis, en travaux de restructuration. Les visiteurs ont ainsi pu retrouver leurs marques. Cent trente exposants dont un tiers de galeries belges et un quart de marchands français ont dans l’ensemble bien travaillé, grâce à un public belge et européen. La foire qui se veut un modèle d’éclectisme dans toutes les spécialités, souffrait d’un certain déséquilibre. Si les secteurs des tableaux anciens et du mobilier ancien étaient un peu plus étoffés (malgré la défection de l’irremplaçable Steinitz, parti à la TEFAF depuis deux ans), l’absence des spécialistes…

La BRAFA retrouve son lustre
La BRAFA retrouve son lustre

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

À lire aussi


Édition N°2918 / 23 octobre 2024

15

Les nouvelles galeries à la BRAFA 2025

Par Jordane de Faÿ


BRAFA : une foire solide et éclectique
Article abonné

La BRAFA privée d’archéologie
Article abonné

Article issu de l'édition N°2542