Après la brève « Un Pecha Kucha qui fait des vagues » parue dans le Quotidien de l'Art d'hier, nous avons reçu la lettre ouverte suivante adressée à Elisabeth Lebovici :
Votre pétition contre l'événement que l'AICA [Association internationale des critiques d'art] France organise au Palais de Tokyo avec l'AICA International est totalement fallacieuse. Elle divise au lieu de réunir. Vous avez la « fureur » bien mal placée, vous vous trompez de cible.
L'événement du 8 mars concilie deux objectifs majeurs définis avec le bureau de l'AICA France. Le premier relève d'un engagement solidaire et de la volonté de promouvoir l'action des femmes. Vous passez sous silence une partie de notre argumentaire qui souligne la quasi parité parmi les membres de l'AICA France et de l'AICA International.
Le second objectif relève d'une réflexion sur la forme. Nous avons clairement annoncé qu'avec le Pecha Kucha, il s'agit d'expérimenter une autre forme d'expression publique de la critique…