Décidément, Paris s’impose comme un hot spot pour l’art africain contemporain. Après avoir reporté son édition de Marrakech de février à mars, la foire 1-54 se voit malheureusement contrainte de renoncer à ce rendez-vous pour la deuxième année consécutive, « en raison des incertitudes persistantes liées aux voyages, provoquées par la pandémie », regrette sa fondatrice Touria El Glaoui. Néanmoins, elle…