Lorsque l’événement a été décalé à 2021 – un choix alors rare pour les manifestations, qui plaçaient tous leurs espoirs sur l’automne –, un an semblait un sursis généreux. « Nous souhaitions donner le temps aux personnes de se remobiliser et attendre que les avions soient à nouveau opérationnels », nous confiait Éric de Chassey, directeur de l’INHA (voir QDA du 7 avril). La crise sanitaire s'étant prolongée au-delà des attentes,…