Le Quotidien de l'Art

Vu en galerie

Vue de l'exposition
« Never Seen a Bag Exploding » à la galerie Suzanne Tarasiève.
Vue de l'exposition
« Never Seen a Bag Exploding » à la galerie Suzanne Tarasiève.
Courtesy Galerie Suzanne Tarasieve, Paris
Anna Tuori, "Ecce Homo", 2019, huile sur panneau, 40 x 30 cm.
Anna Tuori, "Ecce Homo", 2019, huile sur panneau, 40 x 30 cm.
Photo François Salmeron.
Anna Tuori, "Ecce Homo", 2019, huile sur panneau, 50 x 42 cm.
Anna Tuori, "Ecce Homo", 2019, huile sur panneau, 50 x 42 cm.
Photo François Salmeron.
Vue de l'exposition consacrée à
Dennis Oppenheim galerie Mitterrand.
Vue de l'exposition consacrée à
Dennis Oppenheim galerie Mitterrand.
Dennis Oppenheim Estate/Courtesy Galerie Mitterrand.
Dennis Oppenheim, "Study of: Hair Pieces from Hell. Detail: Household scrub brushes", 1993, crayon, crayon de couleur, glacis et pastel gras sur papier, 96,52 x 127 cm.
Dennis Oppenheim, "Study of: Hair Pieces from Hell. Detail: Household scrub brushes", 1993, crayon, crayon de couleur, glacis et pastel gras sur papier, 96,52 x 127 cm.
Dennis Oppenheim Estate/Courtesy Galerie Mitterrand.
Dennis Oppenheim, "Whirlpool – Eye of the Storm", 1973,
photographie couleur, photographie noir et blanc, texte, 220 x 500 cm.
Dennis Oppenheim, "Whirlpool – Eye of the Storm", 1973,
photographie couleur, photographie noir et blanc, texte, 220 x 500 cm.
Dennis Oppenheim Estate/Courtesy Galerie Mitterrand.
Dennis Oppenheim, "Exposed Kidney Pool", 1996
Plâtre, pigment, bois, 60 x 60 x 60 cm.
Dennis Oppenheim, "Exposed Kidney Pool", 1996
Plâtre, pigment, bois, 60 x 60 x 60 cm.
Dennis Oppenheim Estate/Courtesy Galerie Mitterrand.
Anne Bourse, "Stupid sun who can’t stop moving
(LetsClub4Chemins) & (love is a jail)", 2020, feutre, crayon, typex et stylo à bille sur
papier d'emballage, 47 x 32 cm.
Anne Bourse, "Stupid sun who can’t stop moving
(LetsClub4Chemins) & (love is a jail)", 2020, feutre, crayon, typex et stylo à bille sur
papier d'emballage, 47 x 32 cm.
Photo Aurélien Mole/Courtesy de l'artiste et Crèvecœur, Paris.
Mathis Collins, "Le buveur d’absinthe", 2020
tilleul, pigments, 90 x 54,5 cm.
Mathis Collins, "Le buveur d’absinthe", 2020
tilleul, pigments, 90 x 54,5 cm.
Photo Aurélien Mole/Courtesy de l'artiste et Crèvecœur, Paris.
Julien Carreyn, "Les Pharmacies du Sacré-coeur", 2020, structure en bois, trois étages et fond
gouache, encre de chine, acrylique,
photographies instantanées, tirage à sublimation thermique, 30 x 50 cm.
Julien Carreyn, "Les Pharmacies du Sacré-coeur", 2020, structure en bois, trois étages et fond
gouache, encre de chine, acrylique,
photographies instantanées, tirage à sublimation thermique, 30 x 50 cm.
Photo Aurélien Mole/Courtesy de l'artiste et Crèvecœur, Paris.
Renaud Jerez, "Masques et Fumée", 2020, huile sur toile, 190 x 140 cm.
Renaud Jerez, "Masques et Fumée", 2020, huile sur toile, 190 x 140 cm.
Photo Aurélien Mole/Courtesy de l'artiste et Crèvecœur, Paris.

Dans le « monde d'après », les utopies, qui ont notamment nourri les années soixante, prendront-elles le dessus sur le consumérisme ? Une question agitée en toile de fond dans une série d'expositions...

Exposition collective

Galerie Crèvecœur

Émeutes affectives  

Les échos de l’exposition sur la scène française « Futur, Ancien, Fugitif » au Palais de Tokyo ont depuis été recouverts par l’agitation du dehors du monde, des manifestations des Gilets jaunes à Justice pour Adama. Entretemps, une coupure inédite, celle produite par le Covid-19, est venue mettre en crise l’espace partagé. Qu’ont fait les artistes pendant cette crise ? Le philosophe afro-américain Fred Moten nous rappelait la nécessité des espaces d’invisibilité dans la bataille, permettant de « reprendre son souffle, rassembler ses forces, pratiquer des alliances avec les vivants et les morts ». Trois des artistes de l’exposition du Palais exposent ici leurs recherches pendant le confinement, des cosmogonies attentives aux agitations internes : les dessins d’Anne Bourse condensent des sursauts affectifs dans l’indécision, la fragilité et l’incommunicabilité ; Renaud Jerez prolonge en peinture son…

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Article issu de l'édition N°1966