Le Quotidien de l'Art

Vu en galerie : spécial Londres

Doug Aitken, "This Boat has docked (plane with open landscape)", 2019, transparent chromogenique sur acrylique dans des box d'aluminium avec des LEDs,172,1 x 316,2 x 18,1 cm.
Doug Aitken, "This Boat has docked (plane with open landscape)", 2019, transparent chromogenique sur acrylique dans des box d'aluminium avec des LEDs,172,1 x 316,2 x 18,1 cm.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
Doug Aitken, "All doors open", 2019,
acrylique, led, bois, 94,6 x 304,8 x 213,4 cm.
Doug Aitken, "All doors open", 2019,
acrylique, led, bois, 94,6 x 304,8 x 213,4 cm.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
Doug Aitken, "Inside Out", installation,
2019.
Doug Aitken, "Inside Out", installation,
2019.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
La galeriste Alison Jacques devant l'oeuvre clé du show:

Betty Parsons,
"Queen of the circus", 1973, acrylique sur toile, 174,2 x 92,8 cm.
La galeriste Alison Jacques devant l'oeuvre clé du show:


Betty Parsons,
"Queen of the circus", 1973, acrylique sur toile, 174,2 x 92,8 cm.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.

Betty Parsons, "Sultan", 1978,
acrylique sur bois, 103 x 69 x 7cm.
Betty Parsons, "Sultan", 1978,
acrylique sur bois, 103 x 69 x 7cm.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
Betty Parsons, "Seeds," 1970,
charbon et acrylique sur toile,
177,8 x 152,4 cm.
Betty Parsons, "Seeds," 1970,
charbon et acrylique sur toile,
177,8 x 152,4 cm.


Photo Marlene Corbun de Kerobert.

Shirin Neshat, "Muhammed (Patriots)", de la série "The Book of Kings", 2012 , encre sur impression argentique,152,4 x 114,9 cm.
Édition de 5.
Shirin Neshat, "Muhammed (Patriots)", de la série "The Book of Kings", 2012 , encre sur impression argentique,152,4 x 114,9 cm.
Édition de 5.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
Misheck Masamvu
Warmth on Empty Bodies
2019
Oil on Canvas
Work: 200 x 179 cm
Misheck Masamvu
Warmth on Empty Bodies
2019
Oil on Canvas
Work: 200 x 179 cm
Photo Marlene Corbun de Kerobert.
Sue Williamson, "District Six: Museum Case # 1, Constitution St", 1993, objets trouvés coulé dans la résine, étui en plexiglas,
44 x 102 x 12 cm.
Sue Williamson, "District Six: Museum Case # 1, Constitution St", 1993, objets trouvés coulé dans la résine, étui en plexiglas,
44 x 102 x 12 cm.


Photo Marlene Corbun de Kerobert.

Yinka Shonibare, "CBE
Planets in my Head
Young Navigator",
2019.
Yinka Shonibare, "CBE
Planets in my Head
Young Navigator",
2019.
Photo Marlene Corbun de Kerobert.

L'effervescence de la foire d'art contemporain Frieze, la semaine dernière, s'est prolongée dans les galeries londoniennes. Retour sur trois expositions concoctées par des femmes.

Victoria Miro

Doug Aitken

Au début des temps

Doug Aitken (1968, Californie) a créé un univers sensoriel destiné à remettre le spectateur au cœur des œuvres. La dialectique de l’exposition se base sur une question que pose l’artiste : « Où allons-nous ? » Pour y répondre, il faut traverser le temps et retourner aux origines, comme invite à le faire l’installation à l’étage de la galerie, Inside out. Au milieu d’une salle, plongée dans l’obscurité, un corps est entouré de mobiles métalliques en mouvement, sur une musique méditative : une invitation à revenir à l’essentiel. À l'étage du dessous, une installation lumineuse, All Doors Open, met en scène la femme d’aujourd’hui. Faite de bois, LED et peinture acrylique, elle est avachie, la tête posée sur une table, sa main cherchant à atteindre un téléphone... Est-elle vivante ou morte ? Dans l’obscurité, des écrans lumineux projettent des images de la vie contemporaine : une vision aérienne de piscines, le ciel pris d’un…

Vu en galerie : spécial Londres
Vu en galerie : spécial Londres

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Article issu de l'édition N°1806