Le Quotidien de l'Art

Vu en galerie

Real Madrid, "Catching flies not flying" (détail), 2018.
Real Madrid, "Catching flies not flying" (détail), 2018.
graysc.de.
Vue de l'exposition « The Swamp » du collectif Real Madrid, à la galerie Sans Titre.
Vue de l'exposition « The Swamp » du collectif Real Madrid, à la galerie Sans Titre.
Photo Aurélien Mole.
Vue de l'exposition « Eranthis » de Lee Jin Woo à la galerie Maria Lund.
Vue de l'exposition « Eranthis » de Lee Jin Woo à la galerie Maria Lund.
Photo Oscar Heinke.
Vue de l'exposition « Eranthis » de Lee Jin Woo à la galerie Maria Lund.
Vue de l'exposition « Eranthis » de Lee Jin Woo à la galerie Maria Lund.
Photo Oscar Heinke.
Lee Jin Woo, "Sans titre", 2018,
charbon de bois et papier Hanji,
39 x 30,5 cm.
Lee Jin Woo, "Sans titre", 2018,
charbon de bois et papier Hanji,
39 x 30,5 cm.
Courtesy galerie Maria Lund.
Mao Lizi face au diptyque, "Reconstructed Landscape", 2016, huile sur toile, 195 x 130 cm.
Mao Lizi face au diptyque, "Reconstructed Landscape", 2016, huile sur toile, 195 x 130 cm.
Photo Alison Moss.
Mao Lizi, "Ambiguous Flower", 2017, huile sur toile, 146 x 97 cm.
Mao Lizi, "Ambiguous Flower", 2017, huile sur toile, 146 x 97 cm.


Photo Alison Moss.

Des inspirations orientales, cette semaine, avec encres, papiers de riz et paysages évanescents, mais aussi une critique virulente de la société libérale dans une galerie nomade...

Real Madrid

Galerie Sans Titre

Goût de marécage

Real Madrid. Ainsi s'est baptisé en 2015 le collectif de Bianca Benenti Oriol et Marco Pezzotta. Référence ironique au club de foot madrilène, le duo s’intéresse aux relations entre compétition néo-libérale, oppression politique et épanouissement sexuel et queer. C’est dans un appartement déniché par la galerie nomade Sans Titre (2016) que le duo signe sa première exposition en France. Intitulée « The Swamp » (le marécage), elle détraque en souterrain l’idéal de pureté et opte pour une esthétique faussement clinique, où se contaminent avec magnétisme formes organiques, industrielles et libidinales (prix entre 900 et 9 000 euros). Une série de sculptures balbutiantes se disperse sur une plateforme grise comme à la surface d’une eau putride. Sur des nénuphars en aluminium fleurissent des bouches…

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Article issu de l'édition N°1689