Le Quotidien de l'Art

Modesti Perdriolle

José Pedro Croft, "Untitled", 2024, gouache, vernis, encre de Chine sur gravure, 48,5 x 55 cm.
José Pedro Croft, "Untitled", 2024, gouache, vernis, encre de Chine sur gravure, 48,5 x 55 cm.
© Photo Daniel Malhão.
José Pedro Croft, "Untitled", 2021, aquatinte, mezzotinte, pointe sèche, 135 x 118 cm.
José Pedro Croft, "Untitled", 2021, aquatinte, mezzotinte, pointe sèche, 135 x 118 cm.
© Photo Daniel Malhão.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
© Photo Hugard & Vanoverschelde/Sasha Ferré/Courtesy de l'artiste et Almine Rech.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
© Photo Hugard & Vanoverschelde/Sasha Ferré/Courtesy de l'artiste et Almine Rech.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
Vue de l'exposition "Sasha Ferré Daughter of Earth and Water", galerie Almine Rech Bruxelles.
© Photo Hugard & Vanoverschelde/Sasha Ferré/Courtesy de l'artiste et Almine Rech.
Anne Pesce, "Autoportrait, Automne, les yeux fermés", 1993, huile sur toile, 81 X 76 cm. Coll. Frac Occitanie.
Anne Pesce, "Autoportrait, Automne, les yeux fermés", 1993, huile sur toile, 81 X 76 cm. Coll. Frac Occitanie.
© Anne Pesce/Courtesy Modesti Perdriolle/Adagp, Paris 2025.
Anne Pesce devant "NY #4" 2014, huile sur toile, 200 x 200 cm.
Anne Pesce devant "NY #4" 2014, huile sur toile, 200 x 200 cm.
© Anne Pesce/Courtesy Modesti Perdriolle/Adagp, Paris 2025.
Vue de l'exposition « A​​nne Pesce. Rien ne m'empêche », galerie Modesti Perdriolle.
Vue de l'exposition « A​​nne Pesce. Rien ne m'empêche », galerie Modesti Perdriolle.
© Anne Pesce/Courtesy Modesti Perdriolle/Adagp, Paris 2025.
Anne Pesce, "La Part prise par le coeur et le cerveau", 2024, huile sur toile, 100 x 100 cm.
Anne Pesce, "La Part prise par le coeur et le cerveau", 2024, huile sur toile, 100 x 100 cm.
© Anne Pesce/Courtesy Modesti Perdriolle/Adagp, Paris 2025.
Vue de l'exposition « Representational markings », galerie Mendes Wood DM.
Vue de l'exposition « Representational markings », galerie Mendes Wood DM.
© Photo Hugard & Vanoverschelde.
Bendt Eyckermans, "Emblems lost", 2025, huile sur toile de lin, 175 x 133 cm.
Bendt Eyckermans, "Emblems lost", 2025, huile sur toile de lin, 175 x 133 cm.
© Photo WeDocumentArt/Courtesy de l'artiste et Mendes Wood DM.
Bendt Eyckermans, "The Pig", 2024huile sur toile de lin, 132 x 112 cm.
Bendt Eyckermans, "The Pig", 2024huile sur toile de lin, 132 x 112 cm.
© Photo WeDocumentArt/Courtesy de l'artiste et Mendes Wood DM.
Bendt Eyckermans, "Lost emblems", 2025, huile sur toile de lin, 71 x 59 cm.
Bendt Eyckermans, "Lost emblems", 2025, huile sur toile de lin, 71 x 59 cm.
© Photo WeDocumentArt/Courtesy de l'artiste et Mendes Wood DM.

Au programme de cette escapade printanière dans la capitale belge : des collages destructurés, un hommage au monde organique, des partitions géométriques et d'étranges scènes de rue...

Irène Laub

José Pedro Croft

Lignes (dis)continues

Une étrange tension émane des formes élémentaires de José Pedro Croft, dont les cercles sont recomposés par le biais du collage, fragmentés, morcelés. Ce sont en effet les zones de flottement, d'incomplétude et de discontinuité qui intéressent le plasticien, qui a représenté le pavillon portugais lors de la Biennale de Venise en 2017. Le processus de construction et de déconstruction est constamment à l'œuvre chez l'artiste, qui recompose les formes à l'envi afin de les révéler sous une diversité de prismes : « Croft n’est pas un artiste figé, il incarne une recherche continue et c’est exactement cette vitalité que nous souhaitons faire rayonner », appuie la galeriste Irène Laub, qui a souhaité « mettre en lumière l’évolution récente d’un artiste majeur dont le travail entre sculpture, gravure et dessin interroge profondément notre perception des formes ». Proposées à des prix entre 3 000 euros à 28 000 euros – à l'exception d'une sculpture à 75 000 euros – les productions de l'artiste, dont plusieurs ont intégré à cette occasion d'importantes collections privées en Belgique, sont convoitées par des « amateurs avertis, sensibles à l’histoire de l’art contemporain européen, notamment au dialogue entre abstraction et matérialité, qui apprécient à la fois l’élégance formelle et la profondeur conceptuelle, ainsi que ceux qui suivent de…

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Article issu de l'édition N°3044