Le Quotidien de l'Art

Le boom du livre photo

Le boom du livre photo
La première édition du festival Rolling Paper en 2017.
LE BAL, 2017.

Entre les réouvertures de librairies spécialisées et la multiplication des foires dédiées, l'édition photo connait un vif regain. Cependant, le secteur souffre quelques difficultés économiques...

Cela bouge du côté des librairies photo indépendantes à Paris. Au cours de deux dernières années, trois d’entre elles ont rouvert leurs portes : La Hune, après un incendie en 2017, Le 29, rebaptisé La Comète après le rachat par les laboratoires Picto, et La Nouvelle Chambre Claire, qui a déménagé rue d’Arras. Les librairies de musées ne sont pas en reste, à l’image de celle du Bal devenue un lieu d’échanges très apprécié : « Certains viennent spécialement. Nous cherchons à sortir des sentiers battus avec une offre pointue à laquelle s’ajoutent les livres en lien avec la programmation et les classiques », note Émilie Lauriola, sa responsable depuis trois ans.

Le livre de photo a-t-il le vent en poupe ? Oui, si l’on en croit aussi le nombre croissant de salons créés dans le sillage de Paris Photo, qui accueille les éditeurs depuis sa première édition en 1997 : Offprint et Polycopies à Paris, nés en 2010 et 2014, Rush Photoook en novembre dernier à Marseille, mais aussi Cosmos, partie intégrante de la programmation des Rencontres d’Arles…

Le boom du livre photo
Le boom du livre photo

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

Article issu de l'édition N°1672