Cinquante, soixante ou soixante-dix ans après les batailles, qu’en reste-t-il ? Cette question, Gérard Rondeau se l’était posée dès 1981, en revenant sur le Chemin des Dames, théâtre de combats meurtriers pendant la Première Guerre…
Cinquante, soixante ou soixante-dix ans après les batailles, qu’en reste-t-il ? Cette question, Gérard Rondeau se l’était posée dès 1981, en revenant sur le Chemin des Dames, théâtre de combats meurtriers pendant la Première Guerre…
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Je m'abonneArticle issu de l'édition N°1594
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