Dans la lutte d’influence des pétromonarchies, présentées tantôt comme des sagas familiales, tantôt comme un jeu des petits chevaux, le dernier épisode signalait la montée en puissance d’un héritier connu sous le sobriquet de « MBS » (pour Mohammed ben Salmane, ndlr). Ce jeune prince saoudien devait, dans le jeu diplomatique et culturel français, supplanter le Qatar, argenté, mais un peu complice du terrorisme sur les bords. Or, quelques semaines de vacances plus tard, tout…