Lorsqu’il arrive à Paris en 1990, le Coréen Lee Bae ne roule pas sur l’or. Aussi est-ce dans une usine désaffectée de Pantin qu’il installe son atelier. Le prix des tubes de couleurs excède ses moyens. Qu’à cela ne tienne, il dessine avec du…
Lorsqu’il arrive à Paris en 1990, le Coréen Lee Bae ne roule pas sur l’or. Aussi est-ce dans une usine désaffectée de Pantin qu’il installe son atelier. Le prix des tubes de couleurs excède ses moyens. Qu’à cela ne tienne, il dessine avec du…
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Article issu de l'édition N°1516
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