En 2007 John Martin, le marchand d’art le plus important de Londres, cofondait Art Dubai. Il est resté à la tête de la plus grande foire du Moyen-Orient pendant quatre ans. Cette année, il est de retour – mais pour la première fois en tant qu’exposant. Du 21 au 24 mars, la foire s’apprête à accueillir un nombre record de participants avec 105 galeries de 48 pays, dont 28 participent pour la première fois, tout comme la John Martin Gallery. « Lorsque je dirigeais la foire, il me semblait que ce n’était pas approprié d’y exposer aussi. En fait, beaucoup d’exposants ne se doutaient même pas que j’étais moi-même galeriste », explique John Martin.
Mais il a fini par faire une demande, avec l’idée de présenter « les extraordinaires linogravures dystopiques » d’Ade Adesina, un jeune lithographe nigérian qui fait ses débuts en foire, au côté d’une sélection d’œuvres totalement différentes du peintre gallois Neale Howells, que Martin espère lancer sur la scène internationale.
Intérêt important pour les maîtres modernistes du Moyen-Orient
Cette année, selon Martin et les autres marchands, la foire…