Le Quotidien de l'Art

L'art qui met le feu

Avoir le feu sacré. L'expression a du sens tant la flamme a été utilisée par les créateurs de la seconde moitié du XXe siècle, non pas en tant que représentation mais comme médium. Tout le mérite de l'exposition « Tout feu tout flamme » organisée par l'ancien directeur de la Galerie nationale du Jeu de Paume, Daniel Abadie, à la galerie Tornabuoni à Paris, est de révéler une technique récurrente chez quelques artistes, fils de Prométhée ou d'Empédocle, voleurs de feu et merveilleux incendiaires, révélant à coup de chalumeau et de lance-flamme le double pouvoir destructif et créatif de l'embrasement. En premier lieu Alberto Burri, qui réalisa…

L'art qui met le feu
L'art qui met le feu

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

Vous pouvez aussi profiter d'un accès gratuit de 30 jours.
En savoir plus

Article issu de l'édition N°248