Roxana Azimi_Comment appréhendez-vous la foire Art-o-Rama après l’attentat de Nice qui a endeuillé le Sud de la France, et la frilosité croissante des gens à se déplacer dans ce qu’ils considèrent être des zones à risque ?
Jérôme Pantalacci_La situation est bien sûr anxiogène et on ne peut pas ne pas y penser. Nous sommes tous très affectés, Nice, c’est très près. Nous collaborons avec beaucoup de structures qui y sont basées comme la Villa Arson, La Station, Botox… Mais il faut continuer à vivre. Pour l’instant, nous n’avons eu aucune annulation, ni de la part des exposants, ni des collectionneurs.
Le gros des exposants d’Art-o-Rama est composé de galeries jeunes, qui aujourd’hui…