Roxana Azimi_ L’opération ARTCOP21 est-elle organisée en concertation avec la COP21 ou est-elle totalement indépendante ?
Lauranne Germond_Nous sommes soutenus par le ministère de l’Écologie qui donne 15 000 euros et qui finance le projet COPBox au Bourget, qui permet de laisser des messages aux négociateurs de la COP21. Nous l’avions produit d’abord pour les berges de la Seine. Elle a été présentée dans une dizaine de lieux avant d’arriver sur le site des négociations au Bourget pour la COP21.
La présence de l’art ne risque-t-elle pas d’être considérée comme du « greenwashing » ?
Nous évitons l’écueil parce que nous reposons à 100 % sur du financement public et que nous coproduisons les œuvres avec les lieux.
En quoi cette ARTCOP21 est-elle cruciale ?
Il y a plusieurs enjeux, notamment montrer les possibilités de la culture. La transformation de la société…