Si certains doutent encore de l’intérêt manifesté à l’étranger pour la scène artistique française pendant la FIAC, un survol de la presse international fera baisser les armes aux plus défaitistes. À tout seigneur tout honneur, la FIAC reçoit les éloges dus aux grands : « une guerre sans cartel a lieu dans le supermarché de l’art contemporain. Parmi les 200 foires professionnelles de la planète, il se passe quelque chose apparenté au darwinisme », commence El País. Et le quotidien madrilène de citer Jennifer Flay, directrice de la foire : « Seuls survivent les meilleurs. Mais c’est une compétition positive » (22 octobre). Le New York Times rappelle ici que « c’est depuis 2010, sous [sa direction], que la FIAC avec son mélange d’art récent et du XXe siècle est devenue une rivale de taille [pour la foire londonienne Frieze]. Les nouvelles œuvres contemporaines présentées à la FIAC étaient de qualité…