Le Quotidien de l'Art

« Le jeu est porteur à la fois d'un principe de libération et d'asservissement »

« Le jeu est porteur à la fois d'un principe de libération et d'asservissement »
Vue d'installation de U.F.O.-NAUT JK (Julius Koller). Orchestrée par Rirkrit Tiravanija à la Galerie Kurimanzutto, Mexico City, 2012. Photo : Michel Zabé, 2012. Courtesy de Rirkrit Tiravanija, Galerie Chantal Crousel, Paris, et Kurimanzutto, Mexico City, 2012.

Le Nouveau Festival, au Centre Pompidou, à Paris, se concentre cette année sur l'idée multifacette du jeu. Son commissaire, Michel Gauthier, en dessine les grands axes.

Roxana Azimi_Le Nouveau Festival change cette année de durée, pour se déployer sur trois mois. Cela modifie-t-il la manière de concevoir cet événement ?

Michel Gauthier_La composante purement exposition est renforcée par rapport aux éditions précédentes. Sur trois mois, il n'est pas possible d'avoir le même niveau d'activité que sur trois semaines. Il y a une aire où les artistes vont défiler trois fois par semaine pour présenter leurs jeux. Mais il faut que le public y trouve son compte même quand il n'y a pas d'animation spécifique. L'avantage du jeu, c'est qu'il génère de lui-même une activité, une interaction.

Vous aviez depuis longtemps l'idée d'une exposition sur le thème du jeu. Comment l'avez-vous adaptée au concept pluridisciplinaire du Nouveau Festival ?

Le projet que j'avais initialement était une exposition…

« Le jeu est porteur à la fois d'un principe de libération et d'asservissement »
« Le jeu est porteur à la fois d'un principe de libération et d'asservissement »

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Article issu de l'édition N°812