Après des études aux Beaux-arts d'Angoulême et de Grenoble, Hakima El Djoudi (née en 1977) a notamment participé à « Pavillon 7 », au Palais de Tokyo à Paris, en 2008, et au Salon de Montrouge en 2010. Portrait
Hakima El Djoudi a deux amours : la danse et le film noir. Est-ce pour cela ? Son oeuvre, qu'elle soit installation ou vidéo, travaille sur des boucles un peu sourdes, sur le grand sommeil d'images que se plaisent à réveiller des corps. Hantée profondément par ces deux sources de lumière très indirecte. Du cinéma de gangster et de malfrat, des dahlias noirs de ses nuits blanches, la jeune artiste a beaucoup appris. À cet univers des villes qui dorment, elle…