À l'image d'Archie Shepp dont le concert dans le jardin des Abattoirs venait clôturer de belle façon la journée inaugurale du Festival international d'art de Toulouse, on ne pouvait s'empêcher de quitter celui-ci avec, pour une partie de sa programmation, un curieux sentiment de revival des années 1970. Bien sûr, le festival ne peut uniquement être observé de ce point de vue, mais cette tendance est néanmoins de plus en plus manifeste dans le monde de l'art contemporain. Par exemple, la programmation d'un centre d'art aussi pointu que le Wiels à Bruxelles est-elle articulée autour d'expositions de Thomas Bayrle (récemment présentée aussi à l'IAC de Villeurbanne), d'Alina Szapocznikow, de Franz Ehrard Walther et, cet été, celles de Robert…