« Je pense qu'il travaillera encore l'esprit des participants pendant des années », déclare l'écrivain Thomas Clerc à propos du sonnet de Du Bellay qu'il s'est proposé de faire apprendre au public de « Flamme éternelle », dans le cadre de son intervention du 1er juin. Le projet de Thomas Hirschhorn au Palais de Tokyo, à Paris (jusqu'au 23 juin), n'est pas encore fini que se profile déjà la question de l'après. À vrai dire, l'échéance effective importe moins que l'horizon de sens, renforçant encore un peu plus le refus de l'expérience par procuration et l'absolue primauté de la présence.
D'expérience, on sait que Thomas Hirschhorn, dans les mises en oeuvres antérieures du processus « Présence et…