Le Quotidien de l'Art

« Retrouver une échelle qui soit celle des collectionneurs »

R. A. Après avoir quitté la rue du Pont-de-Lodi, dans le 6e arrondissement de Paris, vous avez ouvert une galerie en appartement. Pourquoi ce choix ?

F. L. Je cherchais un espace dans le Marais et Laurent Dumas, de la société Emerige, m'a proposé d'occuper cet espace [rue Michel-le-Comte, 75003 Paris]. Je voulais me rapprocher du Centre Pompidou. Les gens vont en priorité dans le Marais. Je voyais beaucoup moins de collectionneurs rue du Pont-de-Lodi, ou je ne les rencontrais qu'à la FIAC. Ici, il y a une fluidité dans le passage. J'aime cette idée d'un endroit différent, d'une vraie coupure avec ce qui se fait. Il y a un choix à faire : grossir ou changer de façon de travailler. Je ne veux pas être prisonnière de frais délirants. Vu le lieu que j'avais auparavant, chaque…

« Retrouver une échelle qui soit celle des collectionneurs »
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Article issu de l'édition N°498