Le Quotidien de l'Art

« Je vois le CAPC comme une plaque tournante »

Ancienne conservatrice en chef au MUSAC à León en Espagne, puis au Museo Universitario Arte Contemporáneo de Mexico, Maria Inés Rodríguez Fernández, Colombienne née en 1968, prendra ses fonctions à la tête du CAPC-musée d'art contemporain de Bordeaux en février prochain. Elle répond à nos questions.

R. A. Pourquoi avez-vous postulé au poste de directrice du CAPC ?

M. I. R. F. Pour moi, c'était assez évident de postuler pour un endroit aussi mythique, qui a une place importante dans l'histoire des musées. Ce lieu a accueilli des expositions fondamentales dans les années 1980. L'espace était un catalyseur utile pour les artistes, il y avait une force dans la direction. En voyant l'exposition « Sigma » (lire page 6) que Charlotte Laubard et Agnès Vatican ont organisée, on voit à quel point la ville a quelque chose d'ouvert par rapport à l'art actuel. Des gens que nous considérons aujourd'hui comme des mythes, venaient à Bordeaux. Ce que j'ai trouvé intéressant, c'est à quel point la ville a changé. C'est très important pour moi…

« Je vois le CAPC comme une plaque tournante »
« Je vois le CAPC comme une plaque tournante »

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Article issu de l'édition N°493