Si cette première édition à Toulouse de la nouvelle formule de l'ancien Printemps de Septembre était risquée (lire Le Quotidien de l'Art du 24 mai 2013), la mue semble plutôt réussie. Il vaut d'ailleurs sans doute mieux parler d'évolution pour ce festival. L'équipe de direction a bien été renouvelée, mais c'est un fin connaisseur de la situation toulousaine qui en est à la tête, l'artiste Jean-Marc Bustamante, qui a déjà officié jadis comme directeur artistique de la manifestation.
Le nombre des lieux principaux a été réduit, mais surtout pour des questions de disponibilité, puisque la manifestation a été avancée dans le calendrier. Les espaces considérés comme secondaires, autrement dit hors patrimoine architectural toulousain, ne passent cependant pas à la trappe puisqu'ils participent à un programme associé.
Le visiteur qui avait l'habitude de visiter Toulouse en…