Le Quotidien de l'Art

PhotoBrussels, un festival qui a pris ses marques

PhotoBrussels, un festival qui a pris ses marques
Chloé Azzopardi, "Non technological devices".L’Enfant sauvage.
© Courtesy de l'artiste et L’Enfant sauvage/Adagp, Paris 2025.

Lancé en 2017, il réunit une quarantaine de structures de calibres et de programmations très variés - une diversité qui contribue à sa vitalité.

Après avoir réuni quelque 100 000 visiteurs en 2024 dans les 56 lieux participants, PhotoBrussels Festival (PBF) revient avec 46 points de rendez-vous. « Nous n’avons pas vocation à grossir, notre objectif est de gagner en qualité et en fiabilité », explique Delphine Dumont, fondatrice de la manifestation et directrice du Hangar, centre photographique qui en est à l’initiative. Au fil des éditions, ce mois de la photo version belge est devenu un rendez-vous attendu du public, mais aussi de la scène culturelle et artistique locale.

Financement public en berne

Nombreux sont les lieux d’art contemporain qui choisissent de programmer spécialement de la photographie pour y participer. Le PBF réunit aussi, bien sûr, des espaces exclusivement dédiés au médium – pas si nombreux à Bruxelles –, dont les sept membres du comité de consultation du festival. Parmi eux, la Fondation A (avec une nouvelle version de « À partir d’elle », inaugurée au BAL en 2023), la box galerie, qui a fêté ses 20 ans en 2024 (avec une série délicate sur l’intime de Mark Steinmetz), mais aussi des structures…

PhotoBrussels, un festival qui a pris ses marques
PhotoBrussels, un festival qui a pris ses marques

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

Article issu de l'édition N°2989