Le Quotidien de l'Art

Jo Baer, de l'abstraction minimale à la figuration radicale

Jo Baer, de l'abstraction minimale à la figuration radicale
Jo Baer, 2020.
© Photo Yaël Temminck.

Aux côtés de Donald Judd, Dan Flavin et Sol LeWitt, elle fit les belles heures de l’abstraction minimale états-unienne. Mais la rudesse du marché new-yorkais des années 1960 et 1970, peu enclin à soutenir les femmes, la poussa à quitter définitivement les États-Unis pour l’Europe. Pendant ses 95 années de vie, Jo Baer n’eut pas peur du grand écart et d’aller à contre-courant de ce que l’on attendait d’elle, pour défendre ce qu’elle nomma la « figuration radicale ». Née à Seattle en 1929, celle qui étudia tour à tour la biologie, la…

Jo Baer, de l'abstraction minimale à la figuration radicale
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