Le Quotidien de l'Art

Frank Stella, le surdoué du minimalisme

Frank Stella, le surdoué du minimalisme
Frank Stella, "Damascus Gate. Variation I", 1969, acrylique sur toile304,5 x 1220 x 8 cm. Kunstmuseum de Bâle.
© Photo Bosiljka Zutich/Alamy Stock Photo/Adagp, Paris 2024.

« Frank avait tout juste 23 ans, il venait de finir ses études à Princeton. Je suis donc entré dans l'atelier, et là encore j'ai eu un choc extraordinaire. C'était des tableaux noirs faits de bandes noires et comme striés par les étroites lignes d'intervalles laissées entre chaque bande. L'abstraction dure et brutale de Stella m'a fait un effet extraordinaire », racontait Leo Castelli à Claude Berri. Nous sommes en septembre 1959, l'exilé juif de Trieste, passé par Bucarest et Paris, vient d'ouvrir deux ans plus tôt à Manhattan la galerie qui va avoir un rôle fondamental dans la diffusion planétaire de l'art américain. Avec Jasper Johns, Rauschenberg et…

Frank Stella, le surdoué du minimalisme
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Article issu de l'édition N°2823