Les toiles de Niko Pirosmani (1862-1918) sont si jolies et si parlantes qu'on aimerait les réduire pour en faire des timbres que l'on collerait sur des lettres où l'on fait du quotidien un récit du merveilleux, de la vie de tous les jours une histoire du magique. Ce ne serait pas trahir son génie que de jouer à l'échelle du plus grand et du plus petit, lui qui en démontre une maîtrise unique en son genre. Chevreuil, girafe, lion, aigle et ours…
L'image du jour