Le Quotidien de l'Art

Menart : ballon d'oxgène pour artistes libanais et iraniens

Menart : ballon d'oxgène pour artistes libanais et iraniens
Les peintures de David Daoud à la galerie Cheriff Tabet (Beyrouth).
© Photo Armelle Malvoisin.

Installée pour la première fois au palais d'Iéna, la foire axée sur les scènes du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord a fait la part belle aux artistes contemporains de pays meurtris, porteurs d’un art engagé sans violence.

C’est au siège du Conseil économique, social et environnemental (CESE) que s’est tenue la 3édition parisienne de la Menart Fair, dédiée aux artistes du MENA (pour « Middle East et North Africa), accueillant près de 6 000 visiteurs du 14 au 17 septembre. Des collectionneurs principalement français, des représentants de musées et de fondations (le Palais de Tokyo, le musée d’Art moderne de Paris, la Philharmonie, les Fondation Cartier, Hermès, Pinault…) ainsi que des collectifs d’amis de musées (du Palais de Tokyo et du musée du quai Branly par exemple) ont eu le goût de cette découverte. Lancée en 2010 au Liban par Laure d’Hauteville, avant d’investir, après l'explosion meurtrière de l'été 2021, l’hôtel particulier de la maison de ventes Cornette de Saint-Cyr à Paris, la foire s’est épanouie dans ce nouvel écrin, tout en gardant un format intimiste de 30 exposants qui a favorisé les échanges. La foire existe aussi à Bruxelles depuis…

Menart : ballon d'oxgène pour artistes libanais et iraniens
Menart : ballon d'oxgène pour artistes libanais et iraniens

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Article issu de l'édition N°2673