Remercié au milieu de l'été par le Palais des expositions de Genève (Palexpo), Thomas Hug avait réussi ce qui semblait impossible : doter la Suisse d'une seconde foire d'art moderne et contemporain de bon gabarit, malgré la toute-puissance d'Art Basel. Avec un choix à contrepied : en plein hiver (fin janvier) et non à la fin du printemps, en Suisse romande et non alémanique, en gardant une taille « humaine » (pas plus de 100 galeries, mêlant les poids lourds comme Hauser & Wirth, Ropac,…