Le Quotidien de l'Art

Au Louvre, le périmètre variable de l’action culturelle

Au Louvre, le périmètre variable de l’action culturelle
Palais et pyramide du Louvre.
© Photo Olivier Ouadah/Musée du Louvre.

Un an après son arrivée à la tête du Louvre, Laurence des Cars s’affaire à recomposer les directions du musée. Retour sur les va-et-vient historiques d’une organisation trahissant les hésitations autour des services de médiation.

Le mouvement du yo-yo ne s’applique pas uniquement à l’univers des régimes diététiques. Les directions opérationnelles de l’organigramme du musée du Louvre suivent le même mouvement cyclique à chaque changement de présidence. Alors qu’à son arrivée en 2013, Jean-Luc Martinez héritait de 10 départements opérationnels - au nombre de 16 à la création du Grand Louvre dans les années 1990 -, il opéra aussitôt un régime d’amaigrissement les regroupant autour de 7 directions. À la stabilité des fonctions supports des ressources humaines, des affaires financières et juridiques, de l’accueil et de la surveillance, la communication devenait une super-direction des relations extérieures héritant du mécénat et du développement, mais aussi, par une certaine incongruité, de la politique des publics et de l’éducation artistique notamment à destination des personnes…

Au Louvre, le périmètre variable de l’action culturelle
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