Les malheurs de l’Ukraine l’ont un peu fait passer au second plan. Mais le Liban et Beyrouth en particulier, frappé par l’explosion d’août 2020, continuent de se débattre dans leurs propres affres : crise économique et sanitaire, corruption politique, afflux de réfugiés, tensions communautaires. Comment continue-t-on à créer face à cette accumulation de facteurs négatifs ? C’est en quelque sorte le miracle libanais, ici ausculté sous le seul angle…