Le Quotidien de l'Art

Ventes de Londres : l'impact du Brexit sur le marché de l'art britannique

Ventes de Londres : l'impact du Brexit sur le marché de l'art britannique
Vue de la maison de vente aux enchères Christies sur King Street St James's de Londres. Christies a été fondée en 1766 par James Christie.
Photo Alamy/Hemis.fr.

Alors que les résultats des prochaines enchères à Londres sont très attendus, le constat est là : le Royaume-Uni a de nouveau perdu sa deuxième place mondiale du marché de l’art en 2021. La progression de 14 % de ses ventes par rapport à 2020, qui lui a permis d’atteindre 11,3 milliards de dollars, soit 17 % des ventes mondiales, n’a pas été suffisante pour suivre le rebond post-pandémie de ses principaux concurrents, selon le rapport annuel publié pendant Art Basel par Clare McAndrew, d’Arts Economics. Le marché américain a gagné 33 % sur un an à 28 milliards de dollars (43 % du marché) et, grâce à ses 35 % de croissance, la Chine redevient sa dauphine avec des ventes de 13,4 milliards (20 % du marché). 

La relative faiblesse britannique aurait pu n’avoir qu’une signification limitée si dans le même temps la France n’avait pas enregistré une hausse de 50 % de ses ventes, à 4,7 milliards de dollars. Elle a ainsi réalisé 7 % des ventes…

Ventes de Londres : l'impact du Brexit sur le marché de l'art britannique
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Article issu de l'édition N°2418