Le Quotidien de l'Art

Des foires satellites plus concentrées

Des foires satellites plus concentrées
Mbaye Diop, "Colobane", 2020, graphite et acétone, 29,7 x 42 cm. Selebe Yoon (Dakar).
Courtesy Mbaye Diop et Selebe Yoon/Adagp, Paris 2021.

Moins nombreuses qu’il y a deux ans, les salons en parallèle de la FIAC ont affiné leur identité.

Paris Internationale, l’esprit de communauté

La foire porte bien son nom : 36 galeries de 21 pays. Alors que l’opus 2020 s’est tenu sous la forme réduite d’une exposition dans une ancienne supérette, cette 7édition signe le retour à une configuration normale « pour une foire dont l’idée est de trouver des lieux parisiens avec une âme », explique sa directrice Silvia Ammon qui ne cache pas le « gros challenge » de cette période post-Covid pour cette plateforme associative qui prône « l’esprit de communauté entre galeries ». Voici 2000 msur 4 étages haussmanniens du 16e arrondissement avec décor d’époque. Pour un coût de participation entre 4500 et 8000 euros, les acteurs sont plutôt jeunes, autant chez les galeristes que chez les artistes. Uniquement des solos ou des duo-shows. Parmi eux, pour la première fois, trois projets africains : First Floor Gallery (Harare), Rhizome (Alger) et Selebe Yoon (Dakar).

Moderne Art Fair, les grands noms de l’art moderne et contemporain

Pour cette foire qui inaugure sa première édition sous deux grands pavillons le long des…

Des foires satellites plus concentrées
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Article issu de l'édition N°2255